+ damned Pascal. pourquoi tu te cache dans une cuisine?

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❝ J'ai trop peur d'aborder le sujet du crapaud. c'est un caméléon ❞

Citation :: Trop de temps. Cela faisait trop de temps qu’elle cherchait après son pascal. Elle s’était même retrouvé au centre d’aide pour les animaux, même si elle doutait qu’un caméléon se retrouverait parmi les chiens et les chats, dieu sait comme il n’appréciait pas les chats (un en particulier …). Elle avait passé au peigne fin tout son appartement, aux grands désarrois de son colocataire, puis avaient passé des jours à chercher dans toutes les coins de la ville. Mais elle aurait pu le rencontrer dans la rue, ou passer à quelque mètre de lui, sans même le savoir. Elle aurait même pu le bousculer, lui dire pardon, sans même comprendre que c’était lui. Elle commençait à désespérer. Où était son pascal ? Son caméléon préféré ? Le soleil était parti se coucher, et elle avait terriblement faim, et elle savait qu’elle avait encore oubliée de faire les courses, typique de Raiponce ça. Mais elle n’était pas entière quand elle n’avait pas son caméléon avec elle, pour l’encourager et pour lui rappeler que la vie est belle et intense.

Elle leva la tête alors qu’elle s’était affala sur un banc public la tête entre ses mains. Elle y vit le Grannys. Elle était déjà venue boire un verre une fois avec une de ses nouvelles amies, rencontrés d’ailleurs lors de sa recherche toujours infructueuse de son compagnon qui change de couleur préféré. Elle y entra et se posa comme une masse sur une des chaises, lorsqu’une serveuse vient vers elle, elle lui demanda gentiment : « je peux encore avoir à manger ? » Celle-ci partit, il était tard, mais elle était affamée, épuisée, désespérée et tous les magasins étaient fermés à cette heure-ci. Si elle n’avait pas tant cherché après Pascal, peut-être aurait-elle pu se rendre au supermarché et encore la nourriture ici était tellement bizarre. Un tas d’idée germa dans la tête de Raiponce, qu’elle ne put s’empêcher de murmurer à elle-même, si habituer à parler avec pascal, si petit, donc comme à elle-même. Elle avait toujours été la meilleure à cache-cache pourquoi diable, ne le trouvait-elle pas !?

« Peut-être que mère Gothel l’a enfermé ? Oh non je sais !» Elle redressa la tête et enthousiaste « c’était un caméléon maintenant c’est devenu un homme invisible ! Il est peut-être à côté de moi et je ne le vois pas ! »

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HELEN + CASTIEL
comme chiens et chats..
non, comme princesse et caméléon

•• La journée a été longue, mais agréable. Tu profites de ces journées aux saveurs nouvelles avec une mine ravie. Il ne manque qu'un soleil à ton paysage : Raiponce. Ta petite princesse. Oui, tu sais qu'elle est là. Oui, tu l'as déjà aperçue, une fois. Mais tu ne veux pas risquer de la recroiser de nouveau car cette fois, tu te jetterai à l'eau, ça serait plus fort que toi. Pourtant, tu es persuadé qu'elle ne voudra plus de toi. Sous cette forme, à quoi peux-tu bien lui être utile, hein ? Alors, tu t'es fait – difficilement – à son absence. C'est dur. Très dur. Tu t'es trouvé ce talent, comme une passion : la cuisine. T'es bien plus doué qu'avec tes petites pattes de reptile, d'ailleurs. Alors que tu commences à éteindre les fours et plaques dans la cuisine, Mary, une des serveuses, débarque. « Attends, n'éteins pas ! Y a une dernière cliente, elle demande si elle peut manger. Tu peux t'occuper d'elle s'il te plait ? J'dois vraiment filer... » Tu hoches la tête simplement, retirant ton tablier pour filer en salle. Salle qui est vide, complètement vide. Tu trouves la jeune femme rapidement, et les yeux rivés sur la porte comme pour guetter que personne d'autre ne risque d'arriver, tu murmures : « C'est ok pour manger, mais je ne pourrais pas tout faire, c'est un peu tard.. » Tu te frottes les mains et relèves les yeux. Puis tu te figes. Ton souffle s'accélère brusquement. C'est elle. Tu en es certain. Et tu sais que si elle croise ton regard, elle te reconnaîtra. Tu as la même petite lueur brillante mi-malicieuse mi-intelligente. Tu pourrais détourner les yeux, mais tu ne le peux pas. Raiponce, ta Raiponce, elle est là, devant toi. Toi, si bavard dans ce corps alors que tu étais jusque là privé de parole, tu sembles avoir perdu ta langue de nouveau, muet.

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Citation :: « C'est ok pour manger, mais je ne pourrais pas tout faire, c'est un peu tard.. » cette voix était pourtant inconnu, la première fois qu’elle l’entendait. Une voix comme toutes les autres, une voix masculine, particulière, douce et forte à la fois. Elle sourit, elle était encore perdue dans ces pensées, ces divagations lorsque celui-ci avait parlé. Il était tard, trop tard, normalement on lui aurait dit que c’était trop tard pour manger et pourtant, il existait un jeune homme à la voix plus douce. Elle leva les yeux, et ils se posèrent sur le jeune homme en question. Il était beau, il était jeune, il était, elle ne savait pas l’expliquer, mais impressionnant et familier. Ses yeux était fixer sur elle, et les siens sur lui. Elle ne pouvait pas en décrocher, elle les plissa. Elle cherchait à comprendre, pourquoi au fond d’elle, elle avait envie de lui dire qu’il lui avait manqué, et qu’elle ne voulait plus qu’il la laisse seule. Elle essayait de trouver une explication à cette impression de déjà-vu sans être déjà-vu, cette sensation de familiarité et de soulagement. Elle comprit, en inspectant les yeux du jeune homme, le miroir de l’âme dit-on. C’était vrai. Elle savait. Elle savait que la personne qui se tenait devant elle, avec une voix, des os, un corps chaud d’humain. Elle se leva, ne dit rien, ne pouvait s’empêcher de fixer ses yeux qui semblaient encore être celui de son caméléon. Elle sourit, une larme coula sur sa joue, une larme de bonheur. Et elle courût le serrer dans ses bras comme jamais elle n’avait serré quelqu’un. Et alors qu’elle avait sa tête sur son torse, serrée si fort qu’elle avait même du mal à respirer, oui il était aujourd’hui un peu plus grand qu’elle. « Pascal. Tu m’as tellement manqué. »

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•• Les yeux toujours rivés dans les siens, il ne bouge plus. Il n'ose pas le détourner, il n'ose pas parler. Il sait qu'elle est en train de le reconnaître, il sait que ses yeux l'ont trahi, il sait qu'elle va le rejeter, lui dire qu'elle ne veut pas de lui comme ça, qu'elle veut son Pascal, le vrai, le caméléon, celui qui ne savait pas parler ni même la serrer dans ses bras... mais quand elle se lève, ce n'est pas pour partir. Il retient sa respiration et ouvre ses bras au moment où elle se jette contre lui. Rassuré, soulagé, il referme son étreinte sur son dos. Ça lui fait énormément bizarre. Il est plus grand elle, il peut lui parler, il peut la serrer entre ses bras, caresser sa joue entre ses mains, poser ses lèvres sur les si... wow wow wow. Ok, ça, c'est pas voulu comme pensée ! Castiel écarte toute pensée rationnelle de toute façon pour serrer sa princesse contre lui. Son odeur est restée la même. Il remarque qu'elle a un peu de mal à respirer quand elle parle, et la relâche alors, souriant un peu d'un air gêné et taquin à la fois. « Désolé, je... je suis tellement content de te retrouver Raiponce, si tu savais comme tu m'as manqué pendant tout ce temps. » lui avoue-t-il franchement, cachant les doutes qu'il avait ressenti à l'idée de la retrouver. Il essuie du revers de la main une larme sur sa joue et alors, se mordillant la lèvre comme un enfant, croise les bras sur son torse en la regardant toujours droit dans les yeux. « Alors, tu me... trouves comment ? » ose-t-il alors lui demander, attendant sa réponse comme si ça représentait toute sa vie. Il doit avouer que l'avis et les sentiments de Raiponce comptent plus que tout pour lui. Il a des milliers de questions à lui poser (ce qu'elle fait dans la vie maintenant, quel est son nom dans cette ville étrange, si elle a fait d'autres rencontres,...) mais décide de patienter un peu.

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Citation :: « Désolé, je... je suis tellement content de te retrouver Raiponce, si tu savais comme tu m'as manqué pendant tout ce temps. » Il essuie du revers de la main la larme sur la joue de raiponce. Il croise ses bras sur son torse et tel un vraie pascal il lui demanda droit dans les yeux « Alors, tu me... trouves comment ? » Raiponce ne put s’empêcher de sourire et de rire. Il était comme avant mais avec un visage, des yeux, une bouche, et une voix. Elle prit les deux bras de son « nouveau » pascal, les mit en suspension en l’air, comme quand un homme va essayer un costume et qu’on doit refaire des coupures pour qu’il lui aille à la perfection, et elle passa à l’inspection. Elle tourna autour de lui, avec un air plus que sérieux, imité sur son visage et après avoir fait le tour de ce, décidément, beau jeune homme, elle posa son bras droit sur bras gauche et sa tête sur sa main droite, comme concentrée : « Il faut avouer que t’es plutôt… pas mal » elle sourit, dans un air de défi. Bien sûr c’était un de plus bels hommes qu’il lui ait été amenés de croiser depuis sa liberté. « Je ne savais pas que les caméléons étaient aussi beau dans ce monde »Elle ne savait même pas qu'ils étaient humains ! Elle sourit, et rigola et puis, lança un regard autour d’elle lui dit sans tout de même s’empêcher de réaliser qu’il était humain, en chair et en os, en vraie, réel. Et c’était son pascal « Alors c’est ici que tu étais. Tu sais que j’ai été te chercher dans l’animalerie. Mais apparemment dans ce monde, les caméléons pour compagnon, c’est pas très courant. » sur un air perplexe. Par ce que pour elle, le meilleur de compagnon c’était un caméléon. Comment ils faisaient les gens pour jouer à cache-cache alors ?

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•• Il n'y croit pas beaucoup. Elle semble toujours l'aimer de la même façon même s'il n'est plus capable de changer de couleur à tout va ou de grimper sur son épaule. Il se laisse totalement inspecter, nullement dérangé. Il n'a pas l'habitude de lui parler, si bien qu'avec elle, ils se comprennent en un seul regard. Il ne peut s'empêcher d'esquisser un sourire ravi en entendant sa conclusion. Bien sûr que ça lui plait de savoir qu'il lui convient aussi comme ça ! « Eh oui, bien des surprises ! T'as vu, maintenant, je peux parler quoi, tu ne vas plus avoir une seule minute de silence ma belle. » Il se met à rire et baisse les yeux en l'entendant, un poil coupable. Il détourne le regard, tordant ses mains entre elles comme un enfant. « Je.. je suis désolé en fait j'avais... j'avais peur que tu ne veuilles plus de moi si je n'étais plus un caméléon. » bredouille-t-il tout bas, sans oser la regarder. « Tu sais quoi, tu vas me dire ce que tu veux manger et je viens m'installer ici avec toi, au moins on pourra parler, de tout, de ta liberté, de... » Il s'interrompt, réalisant qu'il a bien des choses à lui dire. Attendez... ça fait dix-huit ans qu'il ne peut pas lui dire un mot alors qu'elle est celle qui compte le plus pour lui, alors s'il vous plait, des choses à se dire, ils en ont plein !

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Citation :: L’entendre rire, c’était si beau. Elle l’avait tant imaginé depuis qu’elle s’était retrouvée projeté dans ce monde sans sa belle et longue chevelure magique. Un pascal humain ? Comment était-il ? Sa voix allait être grave, aigüe, sensuel, viril ? Son rire était si beau, et si… « Pascal ». La magie faisait bien les choses, il était parfaitement en accord avec Pascal. Il fut comme gênée et elle fut outré qu’il puisse penser qu’elle ne voudrait pas de lui dans sa peau d’humain. Aussi ridicule que puisse être cette pensée. Elle n’aurait jamais rêvé de mieux que de pouvoir enfin avoir un dialogue avec lui plutôt qu’un monologue accompagné avec un caméléon. Il ne l’a regardé pas, elle par contre, le fixait des yeux, accroché à ce tout nouveau visage. Un pli d’inquiétude se dessina sur son visage, évident c’était logique quand on n’y réfléchissait plus vite. Mais Raiponce n’avait jamais rêvé de mieux que ça.Il lui proposa de "rattraper le temps" elle en sourit. Elle avait tant imaginé ce que pascal aurait pu lui répondre, à toutes ces bêtises. Il la connaissait mieux que qui compte. De quoi ? Il y avait tellement de chose par où commencer ? De leurs vies à Land of story ? De la malédiction, même si Raiponce, maintenant qu’elle a découvert son pascal, change d’avis à ce sujet. Après tout, qu’est-ce qu’une malédiction qui réalise un des vœux les plus chères d’une jeune fille perdue et enfermée ? La liberté et en prime son meilleur ami en chair et en os ! De sa liberté. Oui ce serait si beau d’en parler, lui qui savait tout, qui connaissait ces longues années à imaginer le toucher de l’herbe sous ses pieds… Elle lui sourit et lui dit : « Des cuisses de grenouilles ? » son rire se propagea, elle le taquina, c’était un caméléon. Elle reprit son sérieux « ta spécialité c’est quoi exactement ? Parce que dans ce monde la nourriture est tellement différente. Et puis je vais t’accompagner dans la cuisine. Comme ça je te verrais à l’œuvre avec tes toutes nouvelles mains. En plus, je pourrais m’équiper d’une poêle, histoire de te faire comprendre que croire que je ne veuille pas de toi avec un corps, des mains et une voix, c’est l’idée la plus absurde qu’il soit » Elle lui sourit. Elle était dans la réalité, mais elle pensait à un rêve. Elle voulait le laisser parler, l’écouter, c’était nouveau et c’était bon.

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•• Il sent son regard sur lui lorsqu'il lui avoue avoir douté qu'elle veuille encore de lui. En soi, c'est un peu bête. En soi, c'est pourtant tout de même crédible. Enfin bref, elle ne semble pas d'accord avec ses pensées, et c'est tant mieux ; ça veut dire qu'elle veut toujours de lui ! En même temps, il n'aurait guère tenu plus longtemps sans SA Raiponce. Il se met à rire avec elle, feignant d'abord d'être choqué en l'entendant quémander des cuisses de grenouille. Il se met à réfléchir, puis toujours face à elle, la regardant dans les yeux – ses grands yeux magnifiques dont il ne se lassera jamais – puis répond doucement : « Il paraît que je fais des gaufres délicieuses. Et personnellement, je me passerai bien de la poêle, j'ai compris le message, t'inquiètes ! » Il lui offre un sourire taquin puis lui prend alors la main, considérant leurs mains liées comme quelque chose de nouveau, d'irrésistible, de tentateur... et d'apaisant. Il l'entraîne alors derrière-lui; la salle et la cuisine sont vides, la dernière serveuse est partie et tous les derniers clients aussi. Tant mieux, Castiel ne veut voir personne d'autre que Raiponce mais... mais au fait, ici, quel est son nom ? « Au fait, tu t'appelles comment euh... ici ? » demande-t-il avec un léger rire, bien conscient qu'aux premiers abords, sa question sonne un peu faux. Une fois dans les cuisines, il se tourne vers elle pour entendre sa réponse, ne se lassant pas de la regarder, et vient tendrement écarter une mèche de ses cheveux blonds, beaucoup plus courts que les précédents... et sûrement plus magiques.

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Citation :: Son sourire, c’était comme si elle l’avait toujours imaginé comme ça. Il était exactement comme il devrait être, le pouvoir de la magie ? Il lui proposa sa main, c’était si soudain, pouvoir tenir la main de pascal, jamais elle n’aurait pu imaginer pouvoir le faire ! Elle posa sa main dans la sienne, et serra sa paume. Son touché était doux, il l’entraina dans son antre, sa cuisine, vide. Ils étaient seuls, et raiponce ne pensait déjà plus qu’à cette main qui serrait la sienne. Ses joues s’empourprèrent, sans qu’elle ne le souhaite. Comme ça, parce que c’était pascal, qu’il était beau, et qu’elle avait l’impression de le connaitre depuis toujours alors qu’ils venaient de se rencontrer dans ce monde ci. Il lui demanda son prénom, c’était vrai, il n’était plus pascal et raiponce, enfin ici, ils avaient une double identité. On l’oubliait vite, quand on retrouvait son ami de toujours. « Helen, Helen Faraday. Et toi ? » Elle sourit, ça sonnait bien, même si elle préférait raiponce. Elle fit la liste des noms qu’il aurait pu porter, cela devait être beau. Mais pour elle, cela restera toujours et à jamais pascal, son pascalou à vie. Il se retourna, la fixa, et toucha à ses cheveux, encore une fois son visage vira au rouge. Le geste, ou la honte du changement ? C’est cheveux n’était plus pareil, plus du tout. Elle fit un petit sourire gênée, levant les épaules pour donner une sensation de sécurité à son visage. Lui, il était devenu mieux, il était devenu humain. Elle, elle avait perdu sa longue chevelure, et sa magie. Ils étaient inutiles, tout comme elle. Comment pouvait-elle encore se différencier ? « Ils… ils sont plus courts et simples. Au moins maintenant je n’ai plus à craindre qu’on me les coupe… ». Le regard baissé, la voix douce et calme dans un murmure comme si, elle ne voulait pas que sa voix parvienne aux oreilles de son caméléon préféré.

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ton avatar est juste trop magnifique.

•• Ça lui fait bizarre de la voir. De la voir vraiment. De la voir en taille réelle et pas comme si elle était géante. De pouvoir fixer ses yeux simplement en étant debout en face d'elle. Elle est ravissante. Oui, Pascal la trouve encore plus belle qu'avant maintenant qu'il a lui aussi un corps qui lui ressemble. Il la voit rougir, et ça lui fait plaisir, sans trop savoir pourquoi. Il détaille son visage, plonge ton regard dans le sien, et a l'impression que tu ne te laisserai de rien. Ses paroles le ramènent à la réalité et il esquisse un sourire. Helen, ça lui va bien, il ne sait pas pourquoi, mais ça lui correspond plutôt bien comme prénom. Même si pour lui, elle sera toujours Raiponce, c'est ainsi. « Castiel Blackburn. » murmure-t-il doucement avec un sourire en coin. Tu aimes bien ton nouveau nom, il te correspond bien aussi, et de toute façon, vaut mieux l'aimer car tu ne sembles pas pouvoir changer. Quand il touche ses cheveux, elle semble gênée, déçue et intimidée. Est-elle déçue de ne plus avoir ses pouvoirs ? A-t-elle peur de ne plus être à la hauteur pour Pascal ? Ce dernier fronce légèrement les sourcils tant ça lui semble dérisoire. Elle pourrait être chauve qu'elle serait toujours la princesse de son coeur. Voyant son air tristounet, il lui relève doucement le menton. Depuis qu'il est humain, il n'a pas peur du contact. Même s'il n'en a pas l'habitude, ça a fait de lui quelqu'un de très tactile ; il a besoin de sentir qu'il peut toucher et être touché, c'est étrange, mais c'est ainsi. « Tu es ravissante comme ça. » Il veut qu'elle le sache. Il lui offre un sourire sincère, avant de se reculer légèrement, un peu troublé par leur proximité. Pourtant, il a du mal à détourner son regard d'elle. « Tu... tu veux une gaufre alors ? Je suis là pour toi toute la nuit s'il le faut. » Il est chou non ?

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Les tiens sont toujours orgasmiques

Citation :: Castiel. C’est joli. Ça lui va bien. Comme elle. Même si Pascal c’est mieux, c’est son prénom. Mais castiel, lui va bien, à ce corps masculin, à ces muscles. Il était rassurant, comme toujours, même avec des mains, il n’avait pas perdu ces pouvoirs à lui. Il était rassurant, mais tellement différent, comment savoir si tout n’allait pas changer ? Dans ce nouveau monde on ne savait pas à l’avance ce qui pouvait se passer ici. Il lui dit qu’elle était ravissante, ces mots étaient différent dans sa bouche. Bien sûr elle avait eu des compliments de ce genre ici, mais personne ne la connaissait d’avant, personne ne savait qui elle était, elle. Elle n’osa bouger un pouce, et resta là, à le regarder, intensément. Il se recula, sans savoir, cela ne provoqua une tristesse dans le cœur de raiponce, elle tenta de le garder pour elle. Elle aimait bien Pascal, elle le trouvait tellement beau. Il sourit à nouveau à l’idée des gaufres, son ventre ne lui laissa pas le temps de répondre, et se fit entendre dans le silence qui s’était doucement installé, ou plutôt le calme. Elle rigola, c’était clair et net, elle était affamée. Toute la nuit ? Il ne fallait pas dire des choses comme ça, ça pouvait être dangereux (oui oui très dangereux). « Je ne compte pas te laisser partir maintenant que je t’ai retrouvé » elle sourit et puis tout en se mouvant dans la cuisine, curieuse de voir cette univers : « il suffirait que je te laisse pour ne plus de nouveau de retrouver. » elle sourit et contourna d’un doigt une poêle, elle se posa à côté, les coude sur la table de travail, et la tête dans le creux de ses mains, prête à voir son pascal œuvrait de ses mains comme un dieu. Comptant lui parler un peu tout de même elle pensa à leurs situations dans cet univers : « je dois retrouver mes parents… mes vrais. Apparemment mère Gothel n’ait pas véritable mère » cela avait été un choc car envoyé ici elle était persuadé que sa mère était Maman Gothel et qu’elle l’avait juste protégé des brigands à dents longues et pointues.

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•• Elle accroche son regard et Castiel le soutient. Il se noierait dans son regard si bleu. Il détaille les traits de son visage avec attention. Là tout de suite, ce qu'il aimerait faire ? L'embrasser. Mais bon sang d'où lui vient cette idée ? C'est Raiponce. RAIPONCE, Pascal, donc t'as aucune raison de vouloir... Grr, ça le fait rager, ces envies qu'il ne contrôle pas. Donc il se recule un peu, troublé. En entendant son ventre se plaindre dans le silence, il se met à rire aussi, mêlant son amusement au sien. Il la suit des yeux, d'abord silencieux, l'écoutant simplement, avant de murmurer tout bas : « Je ne te quitterai plus. » Plus jamais. Pascal sans sa Raiponce n'est rien, n'est personne. Alors non, il ne la quittera plus. Plus jamais. Plutôt mourir. Il tient trop à elle, tient trop à eux. Quand il tourne la tête, il s'aperçoit qu'elle l'observe et ça le fait sourire. Alors qu'il verse la pâte à gaufre dans le gaufrier, il sourit, tout seul, comme un adolescent insouciant et naïf. Il se sent tellement bien avec elle. Nul besoin de mimer, de se cacher, de tromper. Elle le connait depuis si longtemps... Quand elle aborde le sujet des parents, il hoche doucement la tête avant de se tourner vers elle, lui caressant doucement les épaules. « On les retrouvera. Ça ne m'étonne pas que cette sorcière n'était pas ta mère, je n'ai jamais cru à ça en fait... Mais c'était un peu dur de t'expliquer mes théories. » Il sourit, surveillant ses gaufres, avant de timidement passer son bras par-dessus les épaules de Helen pour l'attirer vers lui, respirant le parfum de ses cheveux. Ils n'ont peut-être plus rien de magique, mais il les trouve toujours autant jolis. « Tu sais que... qu'on a tous une mission ici ? Tu sais ce que c'est, la mienne.. ? » murmure-t-il doucement, hésitant. Quitte à parler de sa situation, autant parler de ça, ça sera un sujet moins houleux que de parler de son attirance pour un chat.

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Citation :: Il ne la quitterait plus, elle sourit, entendre ces doux mots la faisait se rendre soudainement bien, paisible, elle l’aimait, comme un frère ? Ou plus ? Elle ne savait pas, mais elle se sentait plus que bien en sa compagnie, c’était si bon d’enfin le retrouver. Tout en faisant ces gaufres, qui semblaient déjà délicieuse à l’état de pâte. Elle avait envie de mettre son doigt dans la pate tellement cela avait l’air bon. Elle observa le moindre de ses gestes, le moindre de ses regards, et surtout le moindre de ses paroles. Il lui confia ne pas être étonner de sa nouvelle. Elle sourit, c’était vrai que niveau communication on était assez limité. Mais pourtant elle ne pouvait croire que Mère Gothel, enfin, mère… elle avait trop l’habitude de l’appeler comme ça. Elle devait avoir ces raisons pour l’enfermer ainsi, pour l’éloigner de toute sa famille, pour lui cacher sa véritable identité. Elle refusait de croire que mère Gothel était en réalité mauvaise. Parfois on faisait des choix qui ne nous plaisaient pas. Il passa son bras autour d’elle, elle se rapprocha de lui, son cœur battait de plus en plus vite au fur et à mesure que les cm entre eux se réduisaient, alors que son souffle se coupa, sans qu’elle ne le veille. Qu’est-ce qui lui arrivait ? Elle ne comprenait pas, jamais elle n’avait éprouvé autant de chose en même temps, c’était tellement bizarre, tellement étrange.
On avait tous une mission, une mission, c’était tellement ridicule, elle aimait bien ce monde, elle avait envie de retrouver sa mère et son père, mais rester ici, loin de tout ce monde, loin de son pascal, crapaud. Elle ne voulait plus retomber dans le silence de leur ancienne relation. Sa mission ? Que pouvait être sa mission ? Elle lui sourit en relevant sa tête, leurs visages si près que cela en étaient troublant : « non ? Dit moi je pourrais peut-être t’aider » ne se doutant absolument en rien de sa mission. La méchante reine avait le sens de l’humour.

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+ Il se sent bien, là, avec elle. Loin de ces autres qui les jugent, loin de ces autres avec qui il se sent étriqué. Tout près d'elle, ça lui fait drôle de sentir Raiponce contre lui. Avant, il avait la taille d'un crapaud, comment voulez-vous qu'elle puisse se blottir contre lui... Mais là.. c'est étrange. Agréable et étrange à la fois. Il n'a pas envie qu'elle s'en aille, pas envie qu'elle se détache de lui. Quand elle relève les yeux, il se rend compte que leurs visages sont à une proximité troublante. Il sent le souffle de sa princesse s'échouer sur son propre visage et sourit un peu, même si son cœur tambourine drôlement vite et que son souffle s'est accéléré soudainement. Ses yeux louchent un instant sur ses lèvres avant qu'il se reprenne, honteux de s'être ainsi laissé égaré à l'égard de sa belle Raiponce, enfin Helen, et il plonge dans son regard. Soudain, sa gorge s'est un peu noué. Il n'aime pas sa mission. Il se refuse de la réaliser, d'ailleurs. Mais si c'est pour elle.. « Je dois... Je dois te faire rencontrer celui qui.. qui sera ton prince enfin, pas forcément un prince, mais celui que tu feras changer et qui seras l'élu de ton coeur. Je dois le trouver, et te le faire rencontrer, et.. et faire en sorte que ça marche entre vous j'imagine. » Il détourne son regard, gêné. Et jaloux.

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Citation :: Elle fut surprise d’entendre sa mission. Son « prince » elle n’avait jamais pensé à ça, à un amoureux ne fusse qu’à ça. Elle avait toujours vécu seule, pour elle c’était tellement absurde. Et puis surtout là, que ce soit, la seule personne, … à y réfléchir si aujourd’hui elle devrait choisir un homme pour partager sa vie, ce ne serait personne d’autre que Pascal, enfin Castel. C’était lui qui était le plus proche de son cœur, il la connaissait par cœur. Pourquoi choisirait-elle quelqu’un d’autre ? Qui pourrait se révélait à sa hauteur ? Elle sourit et dans un mouvement de main plaça ses mèches blondes derrières ses oreilles en baissant le regard vers le gaufrier, pour éviter le regard qu’elle cherchait tant auparavant. « C’est… la méchante reine a vraiment le sens de l’humour, comment veut-elle que t’arrive à réaliser ça... c’est absurde. De toute manière, je suis pas sur de vouloir partir d’ici. J’aime plutôt pouvoir toucher ta peau » et sans vraiment se rendre compte, comme si elle ne pouvait plus contrôler sa main, celle-ci se posa sur le haut de la main droite de Castiel, caressant tout doucement cette peau humaine. On s’y habituait vite. Elle ne voulait pas perdre ça.