aislinn mackenzie

est alice liddell

Citation :

in the land of stories
nom complet ✣ alice liddell. âge ✣ 12 ans. statut civil ✣ célibataire. royaume ✣ Wonderland. titre ✣ ce n'est pas une princesse, c'est seulement une voyageuse. situation familiale ✣ elle a une grande soeur, et elles vivent chez leurs parents. conte ✣ alice au pays des merveilles.

in storybrooke
nom complet✣ aislinn mackenzie âge ✣ 16 ans. job ✣ étudiante, et serveuse au casino de nuit. sa mission ✣ devenir une vraie adulte, et pour cela, elle devra retrouver et s'opposer à la reine de coeur. groupe ✣ love me tender. avatar ✣ elle fanning.

caractère ✣
doux/ce vit/ve plein/e de joie triste amical/e associable intelligent/e simplet/e calme colérique réfléchi/e impulsif/ve simple orgueilleux/se


sweet story of mine

Au fond du terrier

Il était une fois. Une jeune fille, blonde comme les blés, les yeux rieurs, très souriante, intrépide. C'était un beau jour d'été, et les Liddell prenaient le thé sur la terrasse. Les filles Liddell, Alice et Lorina, avaient joué à cache-à-cache. Puis, Lorina avait décrété qu'elle avait envie de se reposer. Elle avait sorti, de son sac en toile, un livre. Lorina était une passionnée de littérature, du toucher des feuilles de papier, de l'odeur de la colle. Alice était grimpée agilement en haut de l'arbre près du jardin, un sycomore. Elle avait trouvé l'entreprise de monter aussi haut très amusante, mais s'était vite ennuyée, et était redescendue. Elle posa sa tête contre l'épaule de sa grande soeur, et ronchonna. « Il n'y a même pas d'image dans ton livre. » Sa soeur roula des yeux, et continua sa passionnante lecture. A l'ombre, les soleil perçant à travers les branches, ses yeux se fermaient, la couronne de marguerites qu'elle avait fabriqué tombant sur son front. La chaleur de l'été entourait la jeune fille. Elle perçut un bruissement dans un buisson, non loin de là, et aperçut deux longues oreilles blanches, des petits yeux roses. Un lapin.

Elle se leva, et Lorina ne daigna même pas lever le menton, ni lui demander où Alice allait. Elle s'approcha du buisson et crût entendre une voix, fluette, masquée par le vent. « Ah ! j’arriverai trop tard ! » Étrangement, elle ne fut pas vraiment plus surprise que cela, alors qu'elle le devrait. Un cri aigu s'échappa de ses lèvres. Le Lapin. Il était sorti d'un bond du buisson, et regardait une montre à gousset avec nervosité. Il posa son regard sur la jeune fille, une fraction de seconde, avant de d'étaler plus vite, par petits bonds rapides. Elle n'avait jamais rien vu de pareil, et piquée par la curiosité, elle s'élança après le frêle animal. Elle traversa un champ, qui vint fouetter ses chevilles, ses joues, ses bras dénudés. Et, elle s'arrêta en face d'un trou, caché par une haie.

Elle observa l'obscurité, et s'y glissa. Le trou descendait en pente, mais Alice s'accrochait aux racines afin de ne pas déraper. Puis, d'un seul coup, le tunnel plongea à la verticale, et elle se sentie tomber. Doucement, tout doucement. Comme si elle tombait au ralenti. Son regard fut tout d'abord porté vers le fond, mais l'obscurité l'empêchait de savoir ce qui l'attendait. Elle balaya son regard, et découvrit que les parois étaient aménagées en armoires, en étagères, contenant de la vaisselles, des service de thés. Des cartes géographiques, ainsi que de multiples images colorées complétaient le tableau fantastique. Elle arriva à atteindre un pot, et retourna l'étiquette sur laquelle on pouvait lire « Marmelade d'oranges ». Mais celui était vide, alors alors le posa sur une étagère, plus bas. « Certes, » souffla Alice, « après une chute pareille je me moquerai pas mal de dégringoler dans l’escalier ! Ils vont me trouver très courageuse. Je pourrais tomber du haut du toit que je ne me ferais pas mal ! » Elle songea qu'elle devait tomber depuis au moins plusieurs milles, qu'elle arriverait au centre de la terre, et qu'elle rencontrerait les gens de l'autre côté. Ceux qui marchent la bête en bas.

Elle songea à Dinah, son chat. Qui remarquerait sans doute son absence, ce soir. « J'espère qu'ils ne vont pas te donner ta jatte de lait, à l'heure du thé. » Elle pensa aux chauves-souris. « Il n'y a pas de souris dans les airs. Mais peut-être que tu réussirais à attraper une chauve-souris. Est-ce que les chats mangent les chauves-souris ? ». Ses pensées, qui commençaient à l'assoupir, s'arrêtèrent. Pouf. La voilà qui venait de toucher le fond. Sa descente était finie.

Elle se relève, et aperçoit le Lapin. Aussitôt, elle se relance à sa poursuite, pendant que celui-ci lance des « Par ma moustache et mes oreilles, comme il se fait tard ! » Mais au détour d'un coin, elle perdit sa trace, et elle se retrouva dans une salle, remplie de portes. Elle tenta de les ouvrir, une par une. En vain.

Les portes

Au milieu de ladite salle, il y avait une petite table. Alice dut se pencher pour voir qu'il y avait une clé toute dorée posée sur celle-ci. Elle se précipita vers les serrures des différents portes. Mais soit la clé était trop grande, soit elle était trop petite. Elle tourna dans la salle et passa sa main sur un rideau de velours rouge, et le tira. Il cachait une porte. Elle se pencha et inséra la clé, et à sa grande joie, celle-ci s'ouvrit. Sauf que la porte n'était pas plus grande de douze centimètres. Elle y glissa un œil, et découvrit le plus fabuleux des paysages. Des jardins, bordées de fontaines, et de fleurs exotiques. Sa tête ne passait même pas par ce trou. « De toute façon, à quoi me servirait ma tête, sans mes épaules ? » elle songea. Elle se releva et partit à la recherche d'un indice pour entrer dans ce lieu fantastique. La salle lui paraissait très ténébreuse et stérile en comparaison au paysage qu'elle avait pu voir. Elle retourna vers le table, et découvrit une petite bouteille, sur laquelle on avait collé l'étiquette « Buvez-moi ». Mais Alice était plus fine que ça, et elle commença tout d'abord à analyser la bouteille, à vérifier que l'étiquette n'en cachait pas une autre, stipulant que c'était peut-être du poison. Parce qu'elle avait lu dans de multiples contes qu'il arrivait aux enfants des histoires affreuses, lorsqu'ils n'obéissaient pas à leurs parents. Mais, elle ne trouva aucun indice lui permettant de dire s'il s'agissait d'une liqueur mortelle, ou non. Elle retira le bouchon et liège et but le liquide, qui avait un très bon goût. Un mélange d'ananas, de tarte aux cerises, de crème, de dinde truffée, de nougat et de rôti au beurre.

D'un seul coup, elle se sentit rentrer en elle-même. Elle rapetissait, doucement, jusqu'à atteindre une vingtaine de centimètres de haut. Elle explosa de joie en pensant qu'elle pourrait enfin passer par la petite porte cachée derrière le rideau. Mais lorsqu'elle saisit la poignée, elle se rendit compte que la porte s'était refermée, et elle jeta un regard triste vers la clé, qu'elle avait oublié sur la table en verre. De plus, maintenant, elle était incapable de monter aussi haut. Ses yeux ne tardèrent pas à se mouiller de larmes. « Je te conseille d'arrêter tout de suite de pleurer. » Alice aimait beaucoup se donner des conseils, qu'elle appliquait à la lettre. Comme lorsqu'elle s'était disputée contre elle-même, d'avoir triché à une partie de croquet alors qu'elle jouait toute seule. Son regard fut attiré par un éclat lumineux, et elle s'en approcha. Une petite boite en verre était cachée sous la table en verre. Et cette boite renfermait un gâteau, sur lequel on avait tracé proprement avec des raisins de Corinthe « Mangez-moi ». Elle croqua dans le gâteau.

Elle regarda ses pieds s'éloigner de plus en plus de sa vue. « De plus en plus étrange. » Sa tête cogna le plafond de la salle, et saisit la petite clé dorée. Mais maintenant, elle ne pouvait même plus songer passer par la porte. Elle bloqua ses genoux contre sa poitrine et se remit à pleurer. « Quelle honte. » Elle marqua une pause. « Une fille, grande comme, vous, pleurer de la sorte. » Mais ses propres remontrances ne l'aidèrent pas. Et elle pleura, encore et encore. Un torrent de larmes, si bien qu'une petite mare s'était formée au milieu de la salle. Elle essuya ses larmes en voyant passer le Lapin, tenant dans ses pattes une paire de gants, ainsi qu'un éventail. « « Oh ! la Duchesse, la Duchesse ! Elle sera dans une belle colère si je l’ai fait attendre ! » Elle hoqueta, tendit une main vers le Lapin, espérant qu'il pourrait l'aider. « Je vous en prie, Monsieur.. » Il leva ses yeux vers Alice, et ils s'écarquillèrent. Et pris d'une peur effroyable, il laissa tomber ses affaires et s'enfuit en toute hâte. Perdue, elle pleura encore et encore. Puis, soudain, elle réalisa qu'elle rapetissait de nouveau. Elle comprit que c'était dû à l'éventail qu'elle tenait, et elle le lâcha, avec précipitation.

Elle tenta d'ouvrir la petite porte, mais celle-ci était toujours bloquée. Dans un moment d'inattention, elle finit dans la mare de larmes salées. Elle perçut un petit clapotis, et s'aperçut que c'était une souris. « Ô Souris, savez-vous comment on pourrait sortir de cette mare ? Je suis bien fatiguée de nager ! » Mais la souris la toisa juste de ses petits yeux. « Peut-être qu'elle ne parle pas la même langue. » Elle se rappela à quel point Dinah adorait les souris. « Dites-moi, est ce que vous aimez les chats ? » La Souris pencha la tête et lui lança un « Est-ce que vous les aimeriez si vous étiez à ma place ? » « Non, je ne pense pas. » « Bien. » La Souris n'avait pas envie de parler de chat. « Est-ce que vous aimez les chiens ? » La Souris se retourna vivement vers Alice. « Non. » « Si vous ne voulez pas en parler, ce n'est pas grave. Elles atteignirent la rive, alors que toutes sortes d'animaux étaient tombés dans la mare, un dodo, un lory, un aiglon et pleins d'autres bêtes incroyables.

Le lapin blanc

Elle atteignit enfin, la rive, et lorsqu'elle se retourna, le paysage changea du tout au tout. Il se déforma. Les animaux disparurent en voluptes de fumée. La Souris, le Dodo, tous étaient partis. La mare s'était desséchée, les portes avaient disparu. Le Lapin revint en trottinant. « La Duchesse ! La Duchesse ! Oh ! mes pauvres pattes ; oh ! ma robe et mes moustaches ! Elle me fera guillotiner aussi vrai que des furets sont des furets ! Où pourrais-je bien les avoir perdus ? » Elle comprit tout de suite qu'il s'agissait des gants et de l'éventail. Lorsqu'il l'aperçut, il lui jeta un regard mauvais et l'apostropha. « Eh bien ! Marianne, que faites-vous ici ? Courez vite à la maison me chercher une paire de gants et un éventail ! Allons, dépêchons-nous. » Elle ne s'appelait pas Marianne, mais Alice. Elle le savait. Et elle se dit qu'il devait sans doute trouver que Marianne lui allait mieux. Enfin, le principal étant qu'elle se précipita dans la direction que la Lapin lui avait indiqué.

Elle arriva devant une petite maison, sur laquelle se balançait un panneau en acier, où étaient gravées les lettres « Jean Lapin ». Elle entra sans frapper, tout en se demandant si elle allait rencontrer une petite fille, semblable à elle, du nom de Marianne, et qui lui demanderait sans doute qu'est ce qu'elle faisait dans la maison du Lapin. Dans la chambre douillette du Lapin, elle trouva plusieurs paires de gants, ainsi qu'un éventail. Alors qu'elle s'apprêtait à les amener au Lapin, elle remarqua aussi une petite bouteille. Il n'y avait aucune étiquette dessus. « Je ferais bien de la boire. Il m'arrive toujours des choses extraordinaires quand je mange, ou quand je bois. » Alors elle débouchonna la bouteille et but son contenu.

Malheureusement, elle se mit à grandir, grandir, encore et encore, et fut très à l'étroit dans la chambre du Lapin. Elle enfonça un pied dans la cheminée, et passa un de ses bras par la fenêtre pour pouvoir se caler plus confortablement. Il n'était plus imaginable pouvoir passer par la porte, maintenant. « C'est bien plus confortable, chez moi. Au moins, on ne fait pas que grandir et rapetisser. » Puis d'un seul coup, une voix. « Marianne ! Marianne ! Où sont mes gants ?! » Alice trembla en s'imaginant la fureur du Lapin quand il la découvrirait. Cela fit pencher toute la maison. Cependant, il n'arriva pas à ouvrir la porte de la chambre, parce qu'Alice l'avait bloqué avec son coude. La voix colérique du Lapin se fit entendre dans le jardin. « Patrice ! Patrice ! où es-tu ? » Puis une voix qu'Alice ne connaissait pas, retentit. « Me v’là, not’ maître ! J’bêchons la terre pour trouver des pommes ! » « Pour trouver des pommes ! Dis-moi un peu, Patrice, qu’est-ce qu’il y a là à la fenêtre ? » « Ça, not’ maître, c’est un bras. » « Un bras, imbécile ! Qui a jamais vu un bras de cette dimension ? Ça bouche toute la fenêtre. Dans tous les cas il n’a rien à faire ici. Enlève-moi ça bien vite. » Puis, Alice ne perçut plus que des chuchotements, des grattements, des tressautements, des pas sur les tuiles du toit. Puis un ronflement dans la cheminée. Elle baissa son pied. Mais quelque chose l'attrapa, et par peur, elle donna un coup de pied dedans. Elle entendit des cris. « Patrice vole ! Attrapez-le ! » Puis, ils jetèrent des cailloux par la fenêtre, si bien que certains touchèrent le visage grimaçant de la pauvre Alice. Jusqu'à ce qu'elle se rende compte qu'en tombant, les cailloux se transformaient en gâteaux. Elle en saisit un et croqua dedans.

Elle se mit alors à rapetisser, encore et encore. Dès qu'elle fut assez petite pour passer par la porte, elle sortit, et courut à toute hâte. Elle eut juste le temps d'apercevoir Patrice, le pauvre lézard qu'elle avait assommé et catapulté à travers la cheminée, soutenu par deux cochons d'inde. Elle courut loin d'eux et ne se mit à marcher que lorsqu'ils devinrent seulement des petits points à l'horizon. C'est alors qu'un aboiement retentit au dessus de sa tête. Elle leva les yeux et aperçut un chiot qui lui parut tout de même énorme. « J'espère qu'il ne va pas me manger. » Et elle saisit une branche afin de le lui envoyer. Et pendant qu'il partait chercher le bâton, elle en profita pour s'enfuir à toutes jambes.

Alice espérait pouvoir trouver quelque chose à manger ou à boire, qui lui permettrait de retrouver sa taille initiale. Mais autour d'elle, il n'y avait que des tiges, des fleurs, rien à manger. Cependant, elle remarqua la présence d'un gros champignon. Elle inspecta ce qu'il y avait de chaque côté, en dessous, et se mit sur la pointe des pieds afin d'apercevoir ce qu'il y avait dessus. Et elle se retrouva en face d'une grosse chenille bleue, fumant une pipe turque, et qui ne semblait pas s'intéresser du tout à la jeune demoiselle.

La chenille bleue

La chenille leva son regard vers Alice, et sortit le houka de sa bouche. « Qui êtes-vous ? » Alice regarda ses pieds, confuse. « Je sais qui j'étais ce matin, mais je ne sais plus qui je suis. J'ai changé tellement de fois. » La chenille fronça ce qu'Alice pensait être des sourcils. « Qu’entendez-vous par là ? Expliquez-vous. » Elle fut surprise du ton colérique que prenait cette chenille. Après tout, ce n'était qu'un insecte. « Je ne pense pas pouvoir l'expliquer. Parce que je ne suis plus moi-même, voyez-vous. » La chenille secoua la tête. « Je ne vois pas du tout. » Alice posa ses mains sur ses hanches et rajouta plus fort. « Je n'y comprends plus rien. Grandir, rapetisser, en un seul jour, ça embrouille les idées. » « Pas du tout. » Alice songea au jardin près de la maison, dans lequel, elle adorait se promener, en compagnie de Dinah. Qu'elle l’empêchait de toucher à la soie des chenilles, au printemps. « Je pense que vous vous sentirez différente, lorsque vous passerez de chrysalide à papillon. » « Pas du tout. » « Vos sensations sont certainement différentes des miennes. Tout ce que je sais, c'est que moi, je trouve ça drôle. » La chenille prit un ton de mépris. « Vous ! Mais qui êtes-vous ? » La demoiselle gonfla ses joues. Cette Chenille l'énervait de plus en plus. Comment pouvait-elle lui parler ainsi alors qu'elle ne la connaissait même pas. « Vous devriez commencer par me dire qui vous êtes. » « Pourquoi ? » Cette réponse suffit à Alice pour qu'elle décide de tourner les talons. Après tout, elle n'avait pas non plus vraiment répondu à la Chenille.

« Revenez, j’ai quelque chose d’important à vous dire ! » Alice revint donc vers la Chenille. Pendant quelques minutes, celle-ci ne dit rien, se contentant de fumer sa pipe. « De quelle grandeur voulez-vous être ? » Alice passa sa main sur un pli de sa robe. « Je ne suis pas très compliquée quant à la taille, mais j'imagine que vous comprenez que ce n'est pas agréable d'en changer si souvent. » « Je ne comprends pas du tout. » Alice, n'avait jamais été autant contredite, et sentait qu'elle était vraiment en train de perdre patience. « Êtes-vous satisfaite maintenant ? » Alice plaça une main au dessus de sa propre tête et se mit sur la pointe des pieds. « J'aimerais être plus grande. 7 centimètres, c'est si peu. » La Chenille se dressa de toute sa longueur. Et Alice comprit alors que c'était exactement la taille de la Chenille. « C'est une très belle taille. » La Chenille répliqua, d'un ton cinglant. Elle ne parla plus à Alice, et fumait. Elle crachait quelques nuages colorés, sans porté d'attention à la jeune fille. « Un côté vous fera grandir, et l’autre vous fera rapetisser. » Et la Chenille disparut du champignon dans un nuage de fumée.

Alice hésita. Elle ne savait pas quel côté prendre. Elle se décida finalement à passer du côté droit, et elle grandit jusqu'à atteindre vingt centimètres.

Le chat

uc.

pinkie / 18 ans / topsites
GOSH. I LOVE YOU. ♥

MERCI A TOUT LE MONDE POUR L'ACCUEIL.
(ça me réchauffe mon ptit coeur, c'est terrible. ♥)

Ma fiche avance bien.
Mais j'ai loin d'avoir terminé (et je souhaite bonne chance à ceux qui se risqueront à la lire en entier. parce que. j'ai. beaucoup. écrit. vraiment beaucoup. je pense que ce sera la plus longue fiche de ma vie.) et pour vous faire une idée, je crois que j'ai fait.. err. 33%, approximativement. Donc voilà. un roman à moi toute seule. krrr. ♥

Jonhektor Berkovitch a écrit:

edit tu écris merveilleusement bien

Citation :

Bonjour. Cela fait une semaine que tu as commencé ta fiche, mais elle n'est pas finie. Ton compte est donc en danger. Nous te laissons deux jours pour nous donner un signe de vie. N'hésite pas à demander un délais si tu en as besoin !